-L’oiseau déchu se meurt- Hymne des campagnes, Ode à la vie.Concurrence et violences, de pis en pis.Rimes de dénonciation, espoir reconquis.Vers en i, ami, l’infini
-Imperfection- Pas d’appétit. Je suis malade.Pas de remède pour cette faim,Il pleure à l’intérieur de moi : en RADE.Sanglots incontrôlables, c’est la fin. Il approche
-Paradis artificiels- O peuple fier, qui depuis l’âge de pierre,Construis, invente et crée l’imagination.Mais qui reste bien impuissant en matière,De sentiments, d’instincts, d’autopunition. Prise de
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