-L’oiseau déchu se meurt-
Hymne des campagnes, Ode à la vie.
Concurrence et violences, de pis en pis.
Rimes de dénonciation, espoir reconquis.
Vers en i, ami, l’infini je te dédie.
Destruction, désolation, nous serons punis.
Naissance, croissance, c’est ce qui donne envie.
Couleurs, bonheur et cœur : alors la peur pâlit.
Essence des sens : air, eau, terre, feu nourri.
Amour rageur, montre-leur la fleur qui grandit.
L’oiseau déchu se meurt, blessé.
